Délices et supplices d'Anaïs

Ma nuit au donjon en tant que Maîtresse.

Nuit orgiaque au Donjon...

La soirée débuta comme à son habitude à 20h30, J'étaisccompagnée de B, un ami qui essayait tant bien que mal de réparer ses peines de cœur suite à sa rupture récente, et comme il se sentait l'âme d'un soumis, il voulait savoir s'il aimerait entrer dans ce monde.
M (l'amant de la femme du Maître des lieux) ouvrit la porte et langoureusement m'embrassa, j'en profitais car je voulais montrer à B que la partie commençait une fois entrés, la femme du Maître vient à notre rencontre pour m'embrasser elle aussi. J’en ai donc profité pour titiller et déstabiliser ce novice que j’ai ensuite présenté aux invités que je connais.

Je suis allée me changer en tenue de Divine Maîtresse (mini jupe en cuir noir qui se ferme à l’aide d’une fermeture éclair sur le devant de haut en bas, un bustier de cuir noir fermé dans le dos avec des lacets à la façon d’un corset, un très mini string noir, et des sandales noires à talons aiguilles sertis de petit strass en forme de petites fleurs éparpillées tout le long du talon dont les lanières de cuir très fines se croisent autour de la chevilles, maquillages léger et soigné et les ongles peints d'un rouge magnifique).

J’ai passé un collier autour du cou de ce chien avec une laisse en chaine métalliques et la poignée de cuir. Il a à mes ordres servit de quoi nous restaurer, j’ai mangé en compagnie de Maîtres, et leurs soumises respectives ainsi que le mien, s’assuraient que nous ne manquions de rien.

Parfois une soumise se retrouvait à genoux pour une faute qu’elle avait commise selon son Maître, elle était seins offerts, tétons pincés à la vue de tous, les mains dans le dos...Mmmmm !
Au moment du dessert et du café, j’ai ordonné à B de se changer, il s’est mis en string. Depuis le début de la soirée, il m’avait plusieurs fois tapé sur le système, je lui avais pourtant expliqué avant notre arrivée les us et coutumes qu’il lui fallait respecter mais ce chien, n'en faisait qu'à sa tête.

Je lui ai prié de presser de m’apporter une coupe de champagne avec une douce autorité dans ma voix. Je suis aller préparer mes objets de prédilection, afin qu’il monte le tout dans l’antre des sentences et des supplices à l’étage; ou carcan, croix de St André, table de gynéco, d’autres tables, et tablettes, balançoires, etc... se côtoient et sont approprié par les Maïtres et Maîtresses et une partie des lieux et entouré divans confortables et tables de basses, des bougies partout, une musique d’ambiance et une lumière étudiée.

Je l’ai installé sur une sorte de box capitonné de façon à ce qu’il ait le buste en position allongé les genoux pliés sur des support de façon à ce que ses fesses soient offertes. J’ai fixé ses poignées et ça faisait rire cet petite chose...
Il ne savait donc pas ce qu’il l’attendait...! Au plus il riait au plus j'étais énervées. Je me suis mise à le cravacher, et le fouetter ensuite pour qu‘il cesse, le plus énervant c’est qu’il se marrait encore...!

J’ai donc pris le taureau par les cornes puisqu'il voulait souffrir et qu'il ne sentait rien il aurait ce qu'il souhaitait, j'ai occulté ses yeux à l'aide d'un de mes jolis foulard noir, et à l'aide d'un mini martinet de sac à main, je lui tannais le cuir de son petit cul qui commençait à se tortiller...
Soudain il ne souriait plus, et me supplié d'arrêter, ce que j'ai fait en lui, obligeant de le demander gentiment, ce qu'il fit.
Il devait commencer à comprendre que ce n'était pas du show, et devenait beaucoup plus respectueux. Et évidemment, pour ma part j'avais ma réputation dans ce Donjon, je tenais à la conserver, ce n'était pas un novice que j'avais extrême bonté d'éduquer qui allait me faire perdre la face !

Je l’ai délivrés de cette sentence, pour qu’il se jette à mes pieds et me demande pardon et me remercie. Mais voilà qu’à nouveau il se marre en demandant pardon, cette chienne...!

Je n’y croyais pas, je l’ai attrapé par le coin de l’oreille et l’ai amené jusqu’au carcan; où une fois la tête et les mains bloquées, je lui ai ordonné de se cambrer un maximum à l'aide de ma cravache pour intensifier mon autorité...
J’ai par la suite lubrifié son petit cul de chien en faisant couler le gel glacial et fruité qu’il avait apporté à cet effet, et je lui ai enfoncé sans pitié un gros gode martinet dont les lanières en latex pendaient le long de ses cuisses, cela donnait l'effet d'un poney boy...(troublant, très troublant !)

Je replaçait mon foulard sur les yeux tout en lui murmurant des insultes à l’oreille avec un doux sadisme, il frissonnait, ça lui plaisait, il m'avait déjà confié qu'il aimait se sentir humilié, et encore plus traité comme un moins que rien, une salope, sale chien en rut.

Dès qu’il relâchait sa cambrure il se prenait de tout petits coups de cravache (pour la forme). Je me suis installée confortablement en ayant pris soin d’enlever son bandeau, et M est venu s’installer près de moi pour m’embrasser à nouveau, que j'ai rendu avec plaisir pour qu'évidemment l’autre (mon chien de service) se sente frustré de ne pouvoir être à la place de M, alors que peut-être, je dis bien peut-être, s’il n’avait pas fait l’imbécile, il aurait pu jouir de cette faveur...quoique ! à la réflexion, non ! (il est vrai aussi que lui et moi n'avions jamais rien tenté ensemble avant cette soirée).

Un peu plus tard, je constatais qu’il avait relâché sa cambrure, je le remis à l’ordre avec la longue badine sous son menton, et après que j'eu terminé ma coupe de champagne à mon aise, je lui ai mis à nouveau le bandeau et lui fit couler sur les fesses et son dos de la cire de bougie; assez près pour qu’il sente la chaleur et exciter ses sens, mais pas trop non plus, pour ne pas le brûler et marquer sa peau, il serait encore trop content de porter les stigmates de ses niaiseries.
Oh ! mais ce petit chien bande comme un animal en rut ! de mes mains gantée de cuir, je l’ai masturbé un peu, juste assez pour le chambouler, mais pas trop, pour éviter qu’il éjacule face à tous, ce qui ferait désordre et ce qui n'aurait plus d'effet effervescent pour lui.

Je l’ai détaché, lui ai enlevés le gode de son petit cul de chienne excitée. Je lui ai ordonné d’aller laver ce gode souillé, de le ranger et de m’apporter un café et qu’il avait le droit de boire quelque chose lui aussi, mais qu’il reste assis au sol, à mes pieds, comme un bon petit soumis respectueux, ce qu'il fit, il commençait à comprendre.

Un peu plus tard, nous sommes monté au deuxième afin que je lui montre cet étage particulier. C’est le lieux où les corps entremêlent, où la sensualité et la douceur après la douleur s'exprime.

La pièce est grande, il y a des matelas confortables partout et dans le fond de la pièce, un très beau lit encadré d'un voilage, et donne un ton très érotique avec les ombres qui dansent sur les murs à cause des bougies placées un peu partout.
Mon soumis du soir est allé me chercher un grand verre d’eau, pendant ce temps je me suis allongée un peu et lorsqu’il est arrivé, un couple que je connais était monté nous rejoindre (c’est à mon avis un couple plutôt amateur d’échangisme que de BDSM, qu’ils utilisent plus pour le fun).

La dame est jolie pour son âge, elle approche la soixantaine et elle est sacrément bien foutue. Elle avait selon moi envie de nous, depuis le début de la soirée, parce qu'elle ne nous lâchait pas du regard.
Son entre cuisse était déjà sacrément mouillée, elle était d’une douceur, d'une finesse, et paraissait tellement fragile, au point que j’avais peur de l'abîmer en l'enlaçant, je n’osais même pas mordiller cette brindille !

Entre temps, M est revenu, sans que je ne m'en rende compte, et par je ne sais quelle magie, il avait ôté mon string...
Je sentais sa langue fouineuse chaude et précise, titiller mon petit bouton enflé par le désir et l’excitation, il continuait son exploration, le long de ma fente, pénétrait ma grotte trempée, sa bouche aspirait mes lèvres, un pouce appuyait sur le haut de mon mont vénus, un des point des chakra selon lui...!

Le mari de cette petite cochonne de brindille, s’occupait de la pointe de mes seins, mais comme sa femme, il était tout aussi mou...quel ennui !
Si M n’avait pas été là pour éveiller mes sens, je sens que je me serai très vite caressée pour me mettre en condition, mais il était si habile, comme s'il connaissait mon corps par cœur, il me pénétrait de ses 3 doigts avec vigueur...mmmmmmmm !

Ce salaud allait réussir à me faire partir, je me cambrai par l'effet qu'il me faisait, j'étais au bord de l'orgasme quand tout à coup il s’en alla comme s’il avait vu le diable, sa nana le cherchait et à mon avis, il allait devoir lui rendre des comptes.
Passons ! toujours est-il qu’il m’avait abandonnée au mari de cette chienne aussi fragile que la porcelaine, il avait enfilé un préservatif pour me prendre, puisque maintenant l'état d'excitation dans laquelle j'étais, je restais là dans une frustration totale, le sexe trempé...

Sa queue n’était pas bien impressionnante, je ne suis pas une amatrice des gros sexe, je ne suis pas bien large non plus, mais il y a des limites, j'avais la sensation d'avoir un doigt qui se promenait en moi, je n’ai donc pas senti grand chose de particulier sauf que j’avais envie d'aller jusqu'au bout de mon orgasme, mais ce n'était pas gagné.

Je me suis mise soudainement et avec force à penser un mon amant en date que je n'avais pu voir, fautes de circonstances, et parce que je pensais à cette frustration avec une telle puissance, et qu'il me manquait terriblement, que je voulais qu’il me défonce en imaginant que cet homme me prenait sous le regard de mon Bel Etalon d'amant, que celui-ci m’observait et encourageait ce bougre à me faire mouiller comme une fontaine.

Et à cette pensée, j’ai senti venir un orgasme intense !
Je frissonnais et restais tétanisée tout en ayant la sensation que mon amant me touchait à cet instant même. Je ressentais un délicieux mélange de tristesse, de satisfaction et d'excitation à l'idée de le lui raconter, cette sensation lors de cette soirée. J'étais vidée, mais la petite cochonne insatiable revient à la charge, pour me sucer les tétons et me câliner, comme si j’étais une enfant qu’elle voulait protéger. Elle avait dû ressentir ce je ne sais quoi, que je vivais en catimini, cet état indéfinissable.

Bah ! c’était mignon tout plein, je lui ai adressé un sourire et elle a pris ça pour un compliment. Puis elle est allée sucer la queue de mon soumis, mais il ne bandait pas, je pense que si le mec l’avait sucer, il aurait eut la queue raide, du coup la pauvre est revenue vers moi, je l’ai léchée jusqu’à ce que cette souris jouisse, ça n’a pas duré bien longtemps.

A mon humble avis, son homme ne devait pas bien s’y prendre parce qu’elle avait l’air de planer comme si c’était une première dans sa vie, elle me regardait avec un air très bizarre, comme si elle se demandait ce que je lui avait fait...?!

Une fois tous ressaisis, nous nous sommes rendu compte qu’il était 3h du matin et qu’il fallait encore faire la route, que le Donjon était quasi vide de toutes ces âmes nocturnes suppliciées et sentenciées... après que nous nous soyons changés pour retrouver une tenue plus descente, avons fait nos adieux et repris la route, Ben ne se sentait plus, il m’a bassiné les oreilles en me remerciant un million de fois pour lui avoir permis de connaître ce milieu là !

Je ne l’écoutais déjà plus, mes pensées était bien loin des siennes et du Donjon...

Elles étaient dans le souvenir de ces échanges, ces rires et ces moments d’intenses plaisirs...

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Publié dans : Désirs et délirs d'Anaïs

Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 15:23

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Par Dressage d'Anais - Ecrire un commentaire - Communauté : BDSM

Les délices et supplices d'Anaïs

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